En décidant de supprimer son aide aux tarifs sociaux de la SNCF, l’Etat français Républicain hypothèque encore un peu plus l’avenir. Sous prétexte de faire des économies on détruit l’espérance de la France que sont les enfants.
Il est vrai que depuis longtemps nos politiques ont décidé que le peuplement de notre pays doit se faire par l’émigration mais ils jouent avec le feu et malheureusement ce sont nos autochtones qui vont être « brûlés ».
La famille française doit être défendue à tout prix.
Madame Nadine Morano secrétaire d’état à la famille demande à la SNCF en échange de cette mesure de retrait de l’Etat de proposer des produits commerciaux intéressants pour les familles ; j’ai le regret de signaler à Madame Morano que c’est bien à nous tous contribuables de prendre en charge les aides aux familles car les familles nombreuses sont la richesse d’un pays et qu’un couple ordinaire n’a pas les moyens d’éduquer plus de deux enfants sans l’aide de la collectivité et que ce n’est pas aux entreprises de faire cet effort, elles ont bien assez de contraintes à gérer.
Les allocations familiales rétrécissent comme peau de chagrin depuis leur création au début de la 2è moitié du 20è siècle, maintenant ce sont les aides indirectes aux familles et à côté de cela la collectivité prend en charge des milliers de familles qui ne sont pas françaises au détriment des autochtones ; s’il y a des économies à faire du point de vue social c’est bien à ce niveau qu’elles doivent être faites.
La collectivité française n’a à régler ni de prestations familiales ni de prestations sociales à des familles étrangères sur son sol ; ceux-ci n’ont à être accueillis qu’avec un contrat de travail et une attestation de leur pays d’origine comme quoi ils sont couverts socialement par celui-ci où qu’ils apportent la preuve qu’ils sont couverts socialement par un contrat d’assurance volontaire.
Si l’Etat prend les mesures nécessaires pour que cela soit mis en place, encourage la natalité française, il n’y aura plus de problème de déficit financier récurrent de nos caisses sociales et dans 20 ans avec une pyramide des âges inversée dans le bon sens, la France pourra retrouver son équilibre.
Chantal de Thoury
Déléguée de la Nièvre