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Alliance Hauts-de-Seine

L’Alliance Royale est une formation politique fondée en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus  qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.

  blasong2.jpg"D'azur à la fleur de lys d'or et à la nef antique d'argent, au chef d'argent chargé d'une fasce ondée d'azur", ainsi se décrit le blason des Hauts-de-Seine créé par Georges Weill.


    "Blason Royal du Pays d'Aunis"

20 juillet 2010 2 20 /07 /juillet /2010 11:49

Dans le pays la colère gronde.

 

Dans les banlieues, devenues zones de non-droit, où des délinquants de petite envergure tiennent en otage la population de leur propre cité, et provoquent une flambée de violence lorsqu'ils se font - parfois - tuer.

 

Sur l'ensemble du territoire, où le communautarisme s'exacerbe, livrant le devant de la scène aux plus agressifs des divers camps. Pour le moment, des mots ("Venez, on va tous vous tuer" ou "Vous allez vous cacher derrière vos femmes"; "Il faut envoyer la légion, raser tout ça" et autres brûlages de torchon); quelques démonstrations, aussi, à travers des femmes de plus en plus voilées, en réaction, où des groupes de soi-disant musique vomissant des "morceaux" aux propos insultants.

 

Mais, pour quitter ce terrain trop actuel, la colère gronde ailleurs :

 

Chez les salariés, auxquels on va une fois encore demander des efforts supplémentaires.

Chez les Jeunes, que l'on a laissés passer le bac, en les dotant d'une culture générale devenue bien pauvre, sans formation professionnelle, et auxquels on ne promet guère autre chose que le chômage.

Chez les quinquas, qui pendant toute leur carrière ont connu la menace du chômage et auxquels on va demander de travailler plus longtemps, si toutefois ils ne deviennent pas chômeurs avant.

Chez les entrepreneurs, qui prennent des risques avec leurs propres biens, font travailler des salariés, se lancent évidemment pour gagner de l'argent, mais se voient trop souvent contraints de déposer le bilan en raison d'un trop plein de charges sociales ou fiscales.

 

Sur le bord du chemin, la population s'agace aux nouvelles éternelles de "la Dette", des caisses de retraite vides, des caisses de la Sécurité sociale vides, des caisses ASSEDIC vides, de la faillitte du monde de la finance qui l'a ruinée, que l'Etat, les Etats ont aidé avec leurs impôts et qui affiche deux ans plus tard des résultats insolents.

 

La population s'agace encore de la dégradation du tissu industriel, du monde agricole, de la baisse générale du niveau de vie tandis que s'accroit l'écart de la fourchette des rémunérations : de plus en plus de pauvres, les riches de plus en plus riches.

 

On ne s'étonnera pas de l'étonnement, de la colère et de la perte de confiance de cette population pour les prétendus "élites", qui se sont mis en avant pour prétendre la représenter et la conduire vers des lendemains qui chantent, et se perdent en arguties, abus, scandales, tout en se gardant bien d'aborder de front les dossiers explosifs qui pourraient peut-être changer le cours des choses.


Colère également d'une trop grande promiscuité entre le pouvoir et l'argent, tant est que l'on voit que les hommes de pouvoir ont besoin d'argent pour être élus, tandis que les hommes d'argent ménagent ceux de pouvoir pour mieux garder ou gagner plus d'argent.

 

 

*

 

Face à cette situation explosive, un gouvernement indépendant doit agir.

Faute d'avoir imaginé, depuis des années, ou d'avoir eu le courage d'affronter le sujet, la France a perdu sa situation exemplaire dans le monde, et nous sommes chaque jour un peu plus en situation pré-insurrectionnelle.

 

Alors, quel est le noeud qu'il convient de trancher ? Quel est le facteur sur lequel il est, non pas prioritaire, mais indispensable, immédiat, d'intervenir avec force et détermination ? Quel est le point commun qui fait d'un groupement d'hommes une société, quand bien même ils seraient d'origine ou de confession différentes ? Quel est le problème qu'il faut résoudre, non pas au cours du mandat électoral en cours, mais dans le mois qui vient ?


L'EMPLOI !


Donnons du travail aux "actifs" (ceux qui sont en âge d'être actifs, et trop souvent ne le sont pas...).

 

Travailler représente pour l'être humain sa fierté, son utilité, sa raison d'être.

 

Le travail en France est en concurrence avec la machine, avec l'informatique, avec les bas salaires de pays proches ou lointains.

 

Nous devons relever ce défi, et tout d'abord baisser le coût du travail : les entreprises doivent choisir le travail humain quand celui-ci est possible.

 

Plus de salariés au travail, c'est plus de recettes sociales. Fiscales également. C'est moins de dépenses du même ordre, et donc des caisses en équilibre.

 

C'est une relance de la consommation en provenance des entreprises françaises, sur le marché national ou à l'export.

 

C'est le recul de l'exclusion, que ce soit celle du Français qui déchoit ou celle de l'immigré des "banlieues". Le recul des sans-logis, le recul de la délinquance.

 

Sur ce sujet, les syndicats peuvent être de précieux partenaires, afin de permettre de déterminer branche par branche selon quel barême réduire les cotisations patronales, en échange de la formation et du recrutement de nouveaux salariés : on voit qu'il faut ici soutenir prioritairement les secteurs primaire et secondaire, reconstituer notre tissu économique, mobiliser en France l'investissement, français ou étranger, et par conséquent utiliser à bon escient les puissances d'argent qui, tant qu'elles ne sont occupées qu'à la spéculation, ne se justifient pas.

 

*

 

L'abaissement des charges patronales fait partie des propositions de l'Alliance royale depuis des années. C'est une question de reprise économique, de justice, de paix sociale, une notion polyvalente au service du bien commun.

 

Au travail !


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