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Alliance Hauts-de-Seine

L’Alliance Royale est une formation politique fondée en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus  qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.

  blasong2.jpg"D'azur à la fleur de lys d'or et à la nef antique d'argent, au chef d'argent chargé d'une fasce ondée d'azur", ainsi se décrit le blason des Hauts-de-Seine créé par Georges Weill.


    "Blason Royal du Pays d'Aunis"

20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 11:01
  • Sophie Huet
    19/05/2008 | Le Figaro
  • Le 7 juillet prochain au Congrès de Versailles (ici en février 2007), l'adoption du texte, qui requiert les trois cinquièmes des suffrages exprimés, devrait se jouer à quelques voix près.
    Le 7 juillet prochain au Congrès de Versailles (ici en février 2007), l'adoption du texte, qui requiert les trois cinquièmes des suffrages exprimés, devrait se jouer à quelques voix près. Crédits photo : Le Figaro

    Entre la vingtaine de défections prévisibles à droite et le ralliement possible des radicaux de gauche et des chevènementistes, le vote sur la révision constitutionnelle sera très serré.

    Le gouvernement fait ses comptes, de plus en plus inquiet à l'idée que la réforme des institutions, qui vient en discussion en fin de journée à l'Assemblée, ne puisse pas recueillir la majorité des trois cinquièmes pour être adoptée au Congrès de Versailles, fixé au 7 juillet. Sur 908 parlementaires (577 députés et 331 sénateurs), il faut en théorie 545 voix pour atteindre la majorité requise, mais il y aura inévitablement des absents, volontaires ou non. François Fillon reconnaît lui-même que «ce sera serré». «Il faut qu'on morde à gauche, et il ne faut pas qu'on perde à droite», estimait jeudi dernier le premier ministre. «Cela va être une bataille très difficile, mais on va la mener», confie de son côté un conseiller de l'Élysée. «Nous abordons ce débat dans une totale ouverture d'esprit, mais il ne faut pas que cette réforme fasse l'objet de surenchères partisanes», prévient Roger Karoutchi.

    Sur environ 540 parlementaires UMP et Nouveau Centre, le secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement évalue à une dizaine de députés UMP et sept sénateurs UMP le nombre de ceux qui pourraient faire défaut au gouvernement, car ils sont hostiles à tel ou tel point de la réforme. Henri de Raincourt, le président du groupe sénatorial UMP, préfère ne pas livrer de chiffre. «Sur quelques points précis de la réforme, notamment la Turquie, certains d'entre nous sont très réservés», dit-il.

     

    « Le compte n'y est pas» pour le PS

     

    Face à la déperdition possible d'une vingtaine de voix à droite, l'exécutif mise sur la bienveillance de certains à gauche. Pourtant, socialistes et communistes ont nettement durci leurs positions. Bruno Le Roux, secrétaire national du PS, a menacé lundi le gouvernement de voter «contre» la réforme s'il n'y a pas «d'avancée» sur la réforme du mode de scrutin du Sénat et sur la prise en compte du temps de parole du chef de l'État dans les médias. Deux propositions de loi PS viennent en discussion ce matin puis jeudi sur ces deux points. «Le compte n'y est pas. C'est clair», a déclaré lundi Jean-Marc Ayrault au Figaro. Le patron des députés PS, qui va demander cet après-midi l'organisation d'un référendum sur le projet OGM, accusant le gouvernement d'être «passé en force» sur ce texte. Jean-Pierre Bel, qui préside le groupe PS du Sénat, prévient : «Si on n'obtient rien sur la question du Sénat, il y aura un consensus chez les 97 sénateurs PS pour voter contre la réforme.» Quant à Arnaud Montebourg, il a estimé lundi que «Nicolas Sarkozy portera une lourde responsabilité dans le cas d'un échec» de la réforme.

    Le gouvernement devrait en revanche pouvoir compter sur la coopération des 15 parlementaires radicaux de gauche, si l'on en croit Jean-Michel Baylet, le président du PRG, pour qui la réforme constitutionnelle «va dans le bon sens». Les trois parlementaires chevènementistes du MRC ont eux aussi invité la gauche à «engranger» le bénéfice de la réforme. D'après nos calculs, il manquerait environ cinq voix pour faire adopter la réforme.

    Décidé à mobiliser ses troupes, Jean-François Copé a écrit à tous les députés UMP pour lancer un cri d'alarme : «Si nous sommes divisés, c'est la gauche qui se rassemble ; si nous sommes rassemblés, c'est la gauche qui se divise.»

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