Un petit parallèle, très actuel, entre la Tunisie et la France...
Les Tunisiens ont commencé à voter, dans le monde, avant de voter dimanche en Tunisie, pour élire leurs représentants à l'assemblée constituante.
Ceux-ci auront la mission de définir la nouvelle constitution de Tunisie, préalable à de nouvelles élections destinées à pourvoir aux pouvoirs éxécutif et législatif.
Vaste mission, mission immense, pour laquelle nous souhaitons aux Tunisiens tout le courage du monde. Avec un conseil : parmi toutes les idées que vous souhaiterez mettre en oeuvre, ne négligez pas de soupeser celle de la Démocratie équitable.
En France, pendant ce temps, nous préparons l'élection présidentielle de 2012. Et la continuité d'un régime démocratique, otage en réalité des puissances financières, qui même s'il ne peut cacher son échec n'autorise pas des idées nouvelles à se mettre en lumière.
Nous, royalistes, souhaitons promouvoir un régime qui, malgré la condamnation ad aeternam du vainqueur sur le vaincu, a au fil des siècles fait la France.
Nous présentons un candidat afin, en premier lieu, d'obtenir les 500 signatures (ce serait un comble, dans l'ancien royaume de France, de ne pas avoir la signature de 500 élus !); en second lieu, de remporter l'élection avec pour mission de préparer les institutions devant permettre l'institution de la monarchie.
A ce stade, le gouvernement proposera un réferendum populaire, afin de confirmer la volonté des Français de se doter d'un arbitre, au dessus des partis.
Dans le même temps, le futur roi se sera fait connaître et apprécier des Français, si bien que chacun saura exactement quel est l'enjeu de son choix.
Le pouvoir tunisien était accaparé par des puissants qui confisquaient la finance à leur profit.
Le pouvoir français est accaparé par des hommes et femmes politiques qui dépendent totalement des puissances financières, très au delà des frontières du Pays.
En Tunisie comme en France, désormais, changeons !