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le nouveau bulletin de l'Alliance Royale vient de sortir

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Alliance Hauts-de-Seine

L’Alliance Royale est une formation politique fondée en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus  qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.

  blasong2.jpg"D'azur à la fleur de lys d'or et à la nef antique d'argent, au chef d'argent chargé d'une fasce ondée d'azur", ainsi se décrit le blason des Hauts-de-Seine créé par Georges Weill.


    "Blason Royal du Pays d'Aunis"

26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 13:22
Quand les royalistes, et d'abord Yves Marie Adeline (http://www.ymadeline.fr/et-le-moteur-a-eau/), se posent les bonnes questions pour l'avenir de l'énergie...


Vitry: voiture à eau à la mairie
envoyé par econologie

Connaissez vous des solutions performantes ?
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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 22:51
La France: une préfecture au sein de l'Europe!
Quel pouvoir reste-t-il au président Sarkozy face aux diktats européens?

Lire cet article sur le blogue de Sandrine, en Alsace :
http://allianceroyale.skyrock.com/

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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 12:28
Institutions : le projet adopté par le Sénat complique la donne
Par Clément Daniez - Le Point




Photo de l'hémicycle du Sénat © PASCAL PAVANI / AFP







Les sénateurs ont adopté dans la nuit de mardi à mercredi la réforme des institutions amendée par leurs soins.

Sur 328 votants, il y a eu 289 suffrages exprimés : 166 voix pour et 123 voix contre. Sans surprise, les groupes UMP et centriste ont voté pour, et les groupes socialiste et communiste ont voté contre.

Le texte va maintenant retourner à l'Assemblée nationale du 8 au 10 juillet pour une deuxième lecture. Mardi, les sénateurs ont poursuivi le détricotage du texte de la réforme des institutions transmis par l'Assemblée nationale . Ils ont refusé, contre l'avis du gouvernement, la limitation du recours à l'article 49-3 de la Constitution (adoption d'un texte sans vote), un point clé de la réussite du projet.

Le 49-3 pourra être utilisé "sur tout texte", mais "après consultation de la conférence des présidents de l'Assemblée nationale". À la surprise générale, ils ont supprimé le droit pour les anciens présidents de la République de siéger automatiquement au Conseil constitutionnel. Auparavant, et à nouveau contre l'avis de la ministre de la Justice Rachida Dati, ils ont rebaptisé ce dernier pour le nommer "Cour constitutionnelle".

Le Sénat a aussi voté, et toujours contre l'avis du gouvernement, une mesure qui prévoit que toute proposition de loi, texte émanant d'un député ou d'un sénateur, votée par une assemblée, devra obligatoirement être examinée par l'autre. Lundi soir, les sénateurs ont supprimé un amendement introduit par les députés et qui rendait nécessaire un vote populaire pour une adhésion éventuelle de la Turquie à l'Union européenne.

Sous la pression de plusieurs dizaines de députés UMP, qui en ont fait un point clé de leur vote final, l'Assemblée avait adopté le 29 mai en première lecture un amendement rendant le référendum obligatoire pour l'entrée dans l'UE d'un pays représentant plus de 5 % de sa population. Ce qui visait implicitement la Turquie. En revenant au projet initial du gouvernement, les sénateurs ont cependant élargi le fossé entre leur chambre et l'Assemblée nationale.

Pour Montebourg, une réforme "mort-née" Or, comme tout texte modifiant la Constitution, le projet de loi devra être voté dans les mêmes termes par les deux assemblées. Et Nicolas Sarkozy ayant renoncé à la voie référendaire, il sera présenté au Parlement réuni en Congrès à Versailles, le 21 juillet.

À moins que l'exécutif n'y renonce, faute d'être assuré d'atteindre cette majorité des 3/5e des suffrages exprimés, comme l'avait fait à l'automne 1973 le président Georges Pompidou à propos de sa réforme du quinquennat. Un scénario catastrophe que tient à tout prix à éviter l'Élysée.

Chargé des relations avec le Parlement, Roger Karoutchi a indiqué mardi soir qu'une première réunion sur la réforme se tiendrait dès mercredi après-midi à Matignon pour tenter de trouver un compromis entre les majorités du Sénat et de l'Assemblée sur le texte.

Car toutes ces modifications n'arrangent pas les ambitions du gouvernement, qui doit dorénavant faire avec des sénateurs UMP très attachés aux actuelles institutions, avant même de trouver un indispensable consensus avec le PS pour obtenir une majorité de 3/5e du Parlement en congrès à Versailles.

Chez les députés socialistes, Arnaud Montebourg a d'ores et déjà jugé la réforme "mort-née", tandis que, pour le patron du groupe Jean-Marc Ayrault, les chances d'une réussite partagée "s'éloignent tous les jours".

Notre commentaire : une réforme qui s'annonce comme cela, où normalement les députés de bords différents s'opposent, mais encore sénateurs, députés, gouvernement, dans le même camp... ce n'est pas une réforme : c'est le prélude à une révolution.

Cela n'avait pas commencé différemment en 89. Pas question d'abolir la monarchie et encore moins de déposer le Roi. Les choses se sont faites progressivement, de désaccord en désaccord, pour finir dans la Terreur.

Regardez les aujourd'hui, ces hommes politiques "gaullistes", démonter pièce par pièce l'édifice du Général. 50 ans sous la même Constitution, ils n'en peuvent plus ! Le Général disait : "Après moi, le chaos", il avait prévu court, mais on y arrive. Encore que 40 ans, à l'échelle de l'Histoire de France, c'est assez court.

Avez vous noté, dans tout cela, la place laissée au débat populaire ? Néant, nulle, zéro. A la maison, le peuple, on l'appellera quand on aura besoin de lui.

Alors, qui défend la démocratie, qui défend les Français qui font la France ? L'Alliance Royale aujourd'hui, avec sa proposition de Démocratie équitable, avec le principe de subsidiarité; et demain, le Roi bien sûr, qui a montré à travers les siècles le souci permanent de toujours défendre les faibles contre les forts.
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23 juin 2008 1 23 /06 /juin /2008 13:47
En monarchie, c'est le Premier ministre ou le ministre des Affaires étrangères qui aurait fait le déplacement.

Cette visite de Nicolas Sarkozy et de son épouse en Israël n'en revêt pas moins une importance d'Etat, et nous saluons le discours du président, tant en direction des Israëliens : "La France sera toujours à vos côtés", qu'en direction des Palestiniens : "Il n'y aura la paix dans la région que si un Etat palestinien indépendant, démocratique et moderne existe aux côtés d'un Etat israëlien".
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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 17:18
Saillies
Nous sommes tous des « Irlandais » ! par Portemont

Avec eux nous pouvons lancer « Remember Fontenoy !».
Les Irlandais nous ont offert un grand 12 juin 2008. Nous ne l’oublierons pas… Merci l’Irlande !

Retrouvez l'intégralité de l'article que nous avons mis en ligne sur notre site en cliquant sur le lien:
http://www.lesmanantsduroi.com/articles2/article71478
.php

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 13:05
Selon Bernard Guetta, de Libération, les peuples voudraient l'Europe, au contraire de leurs gouvernements.
Nous n'avons donc pas compris en fait qu'en votant contre le traité européen, les Irlandais voulaient l'adopter, tandis que leur gouvernement y était opposé.
Plus grave, lorsque nous avons nous mêmes voté non il y a trois ans, nous avons confondu le non avec le oui.
Apparemment, l'idée de Guetta est de créer de grands partis, qui feront que l'agriculteur de Corrèze appartiendra à un parti présidé par un agriculteur polonais, de grands syndicats à l'échelon de l'Europe, etc... enfin bref, la République Européenne, la vraie, dont personne encore (même pas lui) n'a osé évoquer le nom.
Lisez l'article ci-dessous. Un président de l'union, un parlement, des grands partis et syndicats : c'est une république, rien d'autre.
Et ce serait ça que veulent les peuples libres d'Europe ?
J'éprouve un léger doute !



" Rebonds

La solution ne viendra pas d’en haut, mais d’en bas. Ce n’est pas que les peuples soient plus intelligents que les élites. Il y a tout autant d’aveuglements parmi les électeurs que les élus mais le fait est que les gouvernements de l’Union ne sont pas en position de la sortir de sa crise alors que les citoyens, eux, le pourraient.

Europe politique ou grand marché, Europe puissance, acteur de la scène internationale, ou zone de libre-échange régie par un droit commun, les 27 gouvernements sont trop divisés sur la finalité même de l’unification européenne pour pouvoir redéfinir ses objectifs et en refaire un projet compréhensible. Faute d’une ambition commune, ils ne peuvent pas substituer une clarté mobilisatrice à l’obscurité d’aujourd’hui, à cette confusion qui est la première cause de la défiance populaire dont souffre, logiquement, une Union dont les buts ne sont pas définis.

Cela fait déjà beaucoup mais ce n’est pas tout. Les gouvernements ne pourront pas non plus répondre à ce rejet en apportant des réponses communes, rapides et concrètes, aux problèmes quotidiens des citoyens européens. Nicolas Sarkozy a eu raison de souligner ce manque après le non des Irlandais mais, pour prendre une décision européenne, il faut voter. Il faut le faire à 27 et à l’unanimité, sur presque tous les sujets, car cette règle reste en vigueur maintenant que l’échec des deux derniers projets de traité institutionnel bloque l’extension prévue des procédures de vote à la majorité qualifiée. C’est un paradoxe mais, avec ces non successifs, les gouvernements demeurent condamnés à ce qui fait tant détester «Bruxelles» - à ces interminables marchandages dans lesquels ils doivent compter non seulement avec leurs accords passés, inscrits dans une montagne de traités incontournables, mais également avec leurs options politiques fondamentales et la diversité de leurs coalitions parlementaires.

Les gouvernements ne peuvent pas échapper, et pour longtemps peut-être, aux négociations à huis clos et aux compromis byzantins qui susciteront encore bien des non. La voie d’eau va grossir. L’Union européenne prend des allures de Titanic. Il faut sortir, d’urgence, de ce cercle vicieux et le seul moyen d’y parvenir est que les citoyens européens tranchent entre les projets en lice - Europe puissance ou Europe marché - envoient à Strasbourg, au Parlement européen, des majorités claires, élues sur la base de programmes pour l’Europe.

Si l’on ne veut pas laisser l’Union se déliter, il faut reprendre les choses à la base, former un échiquier politique européen sans lequel il n’y aura pas de démocratie européenne, ni débat politique sur l’Europe ni possibilité pour ses citoyens d’avoir prise sur ses choix, de s’y intéresser, d’y croire et non plus de la rejeter comme une machine à les priver de leur pouvoir.

Ce n’est nullement impossible. Imaginons que les courants politiques existant dans chacun des Etats s’unissent en partis paneuropéens - social-démocrate, démocrate chrétien, Vert, libéral, altermondialiste ; que ces partis paneuropéens soumettent leurs propositions aux électeurs européens ; qu’ils leur disent ce qu’ils voudraient faire de l’Union sur sa scène intérieure comme sur la scène internationale et que chacun d’entre eux ait une tête de liste, un leader commun qui l’incarne dans les 27 pays. Imaginons-le car ce serait parfaitement possible. Rien ne l’interdit dans le cadre des institutions actuelles, ni celles des nations ni celles de l’Europe. Ce ne serait qu’une question de volonté des forces politiques et l’on verrait alors les citoyens européens voter, et non plus s’abstenir, aux élections européennes car leur enjeu deviendrait aussi capital qu’évident.

En donnant la majorité à l’un ou une coalition de ces partis, les Européens choisiraient du même coup, comme dans toute démocratie parlementaire, la force qui constituerait l’exécutif européen puisque les membres et le président de la Commission doivent obtenir l’investiture du Parlement. Autant les gouvernements nationaux sont impuissants à sortir l’Europe de sa crise, autant les citoyens le pourraient mais il y a une condition à cela.

Cela ne pourra se faire que s’il y a une offre politique européenne, que si les partis nationaux deviennent européens. C’est leur responsabilité historique, celle de leurs dirigeants comme des militants qui les élisent, celle des associations, des syndicats, des journaux, de toutes les forces qui concourent à la démocratie. Ou bien nous nous résignons à ce que nos gouvernements ne puissent pas faire l’Europe, ou bien nous la faisons, par nos votes.

Bernard Guetta est membre du Conseil de surveillance de Libération.

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12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 08:22
 
 
Un article de FRANCE 3 :

Une enseignante suisse porte plainte contre l'UEFA. Elle considère que la Marseillaise est une incitation à la violence.
par M.G.
- Rouget de l'Isle chantant La Marseillaise (tableau d'Isidore Pils, 1849). -
Rouget de l'Isle chantant La Marseillaise (tableau d'Isidore Pils, 1849).
C'est une démarche surprenante. Une citoyenne helvète du Locle, en Suisse, à quelques kilomètres de la Franche-Comté, a porté plainte contre l'UEFA. Pour elle, la Marseillaise, diffusée lundi 9 juin en ouverture du match de l'Euro, France-Roumanie, constitue une incitation publique à la violence. Un délit puni par la loi.

Difficile de dire si la plainte déposée par Mireille Grosjean, enseignante du Locle, en Suisse, a une chance d'aboutir. Sa démarche est pour le moins insolite. Considérant que les paroles guerrières de l'hymne français sont un appel à la haine de son prochain, elle a déposé plainte contre l'UEFA, qui organise l'Euro 2008 dans son Pays. Pour elle, la diffusion de la Marseillaise, en ouverture du match France-Roumanie lundi 9 juin, constitue une incitation publique à la violence. Pas vraiment surprenant car l'œuvre de Rouget de l'Isle, lédonien d'origine, était bien dès le départ, en 1792, un chant de guerre.

Près de 220 ans plus tard, Mireille Grosjean se base sur l'article 259 du code pénal suisse qui punit d'emprisonnement ou d'amende l'incitation à un délit impliquant la violence contre autrui ou des biens. Elle a déposé plainte au bureau communal de sa ville.

Cette élue verte, par ailleurs militante de gauche et pacifiste, espère amorcer une évolution des hymnes nationaux, comme l'abbé Pierre en son temps. Dans son collimateur également, les hymnes turcs et portugais, aux messages tout aussi belliqueux que notre Marseillaise.

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10 juin 2008 2 10 /06 /juin /2008 22:10
L'Irlande est le seul des 27 Etats membres de l'Union européenne à ratifier le texte par voie référendaire, ce qui signifie que moins de 1% des 490 millions d'Européens pourraient faire dérailler la réforme des institutions de l'UE. L'Irlande est le seul des 27 Etats membres de l'Union européenne à ratifier le texte par voie référendaire, ce qui signifie que moins de 1% des 490 millions d'Européens pourraient faire dérailler la réforme des institutions de l'UE.

C'est agaçant de penser que le seul pays qui a décidé de choisir la voie référendaire risque de dire NON au traité, ce que certainement d'autres pays auraient fait si les peuples avaient été consultés...

Les politiciens ont peur de la démocratie !
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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 16:41

Article de notre président, Yves-Marie Adeline, sur son blogue :

"Jamais, dans toute l’histoire de France, un tribunal n’a annulé un mariage au motif que l’épouse n’était pas vierge. Pour la simple raison que le christianisme ne permet pas cette aberration. Certes, préserver sa virginité avant le mariage est une vertu très importante (aussi importante chez l’homme que chez la femme, d’ailleurs!) mais c’est une vertu privée, intime, comme d’aller à la messe le dimanche; à distinguer des vertus publiques comme celles de respecter la vie d’autrui,  ou celle de respecter son bien, etc. Une personne n’a pas à rendre compte aux hommes, mais seulement à Dieu, de sa pratique ou non-pratique des vertus privées.

Chez d’autres peuples, islamiques ou non d’ailleurs, la question de la virginité est une question sociale, publique, au point qu’au soir des noces on exhibe un drap maculé du sang virginal de l’épouse, parce que la femme seule garantit l’identité de la filiation, donc plus généralement l’identité même du corps social. C’est pourquoi il arrive qu’on la maintienne recluse,  qu’on la dérobe aux regards d’autrui, voire qu’on la mutile intimement, pour éviter qu’en succombant à la tentation de la chair, elle ne brouille l’identité, l’intégrité de la filiation. On est ici bien loin de notre civilisation, mais il faut comprendre comment cela existe. 

Certains se demandent si, avec l’émigration musulmane de masse, la justice n’est pas en train de s’islamiser, quand on voit que ce jugement est contemporain d’un autre jugement, condamnant Brigitte Bardot à 15.000 euros d’amende pour “incitation à la haine des Musulmans”… Des condamnations françaises donc, qui ne contrastent pas vraiment avec un jugement condamnant au même moment, en Algérie, des convertis chrétiens pour prosélytisme du christanisme.

En fait, il y a une différence: il n’existe pas à proprement parler de “Droit” musulman, tel que l’ont imaginé les Romains, puisqu’en terre d’islam il n’y a pas de différence entre sphère privée et sphère publique. En principe, la France est héritière de la conception occidentale du Droit. Mais le problème vient de ce que notre magistrature est sinistrée: intellectuellement d’abord, quand on voit le manque d’enseignements fondamentaux à l’Ecole nationale de la Magistrature; moralement ensuite, car les juges suivent la pente générale de notre société en perte de valeurs.

C’est ainsi qu’on peut s’expliquer le chaos judiciaire français: des gens qui ont prié pacifiquement contre l’avortement ont été condamnés à de lourdes peines, parfois à la prison comme le Dr Dor, et une femme voit son mariage annulé parce qu’elle n’est pas arrivée vierge à son mariage.

Et le plus extraordinaire est que cette dernière manifestation de notre décadence judiciaire ne provoque pas le tollé universel qu’on serait en droit d’attendre.

Certes, la nature ayant horreur du vide, c’est de cette façon que des règles islamiques strictes, structurantes pour l’esprit, ont pu s’insinuer dans l’esprit vide d’une cour judiciaire française, puisque la place était à prendre.

Jamais, donc, on n’aurait cru voir une chose pareille, parce qu’on croit toujours qu’on ne peut plus descendre plus bas, mais c’est faux: l’abîme est insondable, le pire-encore est toujours possible."

Il y a d'ailleurs une autre dimension dans cette affaire. Le Droit français veut qu'une décision de justice ne se commente pas. Dans le cas présent, on en est loin... Que le Parquet fasse appel, que la décision soit cassée, ou non, ce sera le libre cours de la justice.

Mais là, cette histoire est portée sur la place publique. La rue, le comptoir de bistrot, internet... Imaginez cet homme et cette femme : mariés, pas mariés, mariés ? Réputation perdue, au regard de leur culture. Quel linge sale.

C'est bien d'une décadence qu'il s'agit, puisque nous n'osons même plus nous référer à des règles créées par nous dans notre pays.

ChP

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 09:04
La réforme des institutions voulue par le président de la république est en cours d'adoption par le parlement.
Dont l'article suivant :

· Saisine du Conseil constitutionnel. Un simple citoyen ou une personne morale pourront saisir le Conseil constitutionnel, via le Conseil d'Etat ou la Cour de cassation. Le projet initial avait limité cette saisine aux lois promulguées après 1958. Un amendement voté a étendu cette possibilité aux lois antérieures.

Peut-être pourrions nous envisager de demander au Conseil Constitutionnel de réviser la constitution de la Vème république, en ré-instaurant par exemple dans le Code civil les 2 premiers articles qui précisaient IL Y A ENCORE MOINS DE DIX ANS qu'en France, les lois sont promulguées par LE ROI.
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