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le nouveau bulletin de l'Alliance Royale vient de sortir

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Alliance Hauts-de-Seine

L’Alliance Royale est une formation politique fondée en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus  qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.

  blasong2.jpg"D'azur à la fleur de lys d'or et à la nef antique d'argent, au chef d'argent chargé d'une fasce ondée d'azur", ainsi se décrit le blason des Hauts-de-Seine créé par Georges Weill.


    "Blason Royal du Pays d'Aunis"

13 juin 2009 6 13 /06 /juin /2009 07:24

J'ai parfois (pas souvent) entendu : "rétrograde"...

D'après les propositions de l'Alliance royale, que soit bien comprise la similarité entre l’institution royale et la constitution de la Vème république :

Le Général De Gaulle l’a voulu ainsi. Le président de la République est un roi élu pour 5 ans, il a plus de pouvoir que n’importe quel roi dans le passé, y compris Louis XIV.

Un président pense à la prochaine élection. Un roi pense à la prochaine génération.

Est-ce cela, avoir des idées rétrogrades ?

Nous insistons naturellement sur les institutions, plus que sur la politique quotidienne : c’est que nous reconnaissons le travail indispensable des hommes politiques, qui pourraient de la même façon être ministres ou députés en monarchie (ainsi qu’il en est dans les autres pays d’Europe : rétrogrades ?), mais nous souhaitons y ajouter une notion de situation entre le passé et l’avenir.

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24 avril 2009 5 24 /04 /avril /2009 13:41
Mon petit-fils de 4 ans se trouvant fort occupé dans la salle de bains, pensait pour occuper le temps.

Il pensait à voix haute et voici ce que mon épouse put entendre :

"M-E-N-N-E-N ?? Ca ne veut rien dire..."

Voici donc, résumée en quelques mots, dans la bouche d'un enfant dont on dit que sort la Vérité, notre société contemporaine.

Ca ne veut rien dire.

Pas plus Mennen, que Vivendi, que RATP, que LCL, que Auchan... que UMP, FN, MoDem ou tous ces sigles qui nous cernent.

Ce ne sont pas des mots, pas des noms, ni communs ni propres; ce sont des sigles, des marques commerciales, des logos... ça ne veut rien dire.

Or, ces sigles se doivent de représenter le contenu de l'activité dont ils sont la vitrine : est-ce dire que ces activités n'ont rien à dire, est-ce dire qu'elles sont creuses ?

Quoi qu'on en pense, l'Alliance royale, qui n'utilise pas le sigle "AR", s'est choisie le nom le plus porteur de sens qui soit.

Deux mots :

Alliance, y a-t-il besoin d'une explication, y a-t-il plus beau ?
Royale, là encore c'est clair, c'est net, c'est précis.
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18 avril 2009 6 18 /04 /avril /2009 16:08
Le Monde.fr

L
es propos imputés à Nicolas Sarkozy sur le premier ministre espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, relayés par Libération en fin de semaine, n'ont pas manqué de provoquer un tollé dans la presse internationale. Le chef de l'Etat aurait notamment déclaré que M. Zapatero "n'est peut-être pas très intelligent. Moi, j'en connais qui étaient intelligents et qui n'ont pas été au second tour de la présidentielle". Des déclarations rapidement démenties par l'Elysée.

Comme elle l'avait fait pour le discours du chef de l'Etat prononcé à Dakar en 2007, Ségolène Royal est monté au créneau afin de s'excuser publiquement pour des propos qualifiés d'"injurieux". Mme Royal a envoyé une lettre au premier ministre espagnol lui assurant que "ces propos n'engageaient ni la France, ni les Français", selon un communiqué publié sur le site de Desirs d'avenir. "Ségolène Royal estime qu'exercer le mandat de président de la République impose un devoir de maîtrise de son langage et de son comportement afin de ne pas porter aux intérêts de la France", poursuit le communiqué.

La formule utilisée par Mme Royal dans sa missive au chef du gouvernement espagnol est la même que celle utilisée pendant son voyage au Sénégal, le 6 avril. Elle s'était alors excusée pour les "paroles humiliantes" de Nicolas Sarkozy, assurant qu'elles n'engageaient "ni la France, ni les Français".

Sûr que nous, Français, n'avons plus la moindre envie d'être arrogants, si toutefois nous l'étions auparavant.

Est-ce ainsi que nous avons mérité d'être représentés ?

Par un gaffeur professionnel qui fait de l'humour devant les caméras ou les micros ?

Par une pénitente professionnelle qui en demandant pardon au nom de son ancien concurrent fait de nous des bouffons ?
Tant que la conduite des affaires de la France sera considérée comme un jeu télévisé, il ne faudra pas s'étonner que notre pays, et notre peuple, n'aient pas de "projet"...
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24 mars 2009 2 24 /03 /mars /2009 17:06
http://www.lexpress.fr/actualites/2/le-dossier-heuliez-au-coeur-d-une-bataille-politique-en-france_749009.html

Il n'est pas rare, à propos de Nicolas Sarkozy, de rencontrer dans la presse le terme d' "ami".

Comment ne voit-on pas qu'un roi n'a pas d'amis ?

Il compte dans son entourage des personnes de confiance, des personnes qu'il apprécie et auxquelles il demande conseil, des personnes fidèles à son service et à celui de la France, mais il n'a pas d'ami !

Sa vie toute entière vouée, de sa naissance à sa mort, au service du royaume crée une distance qui empêche cette amitié, source ou non de favoritisme.

Et puisque nous en venons aux favoris, ce sera pour noter que les favoris des rois n'ont jamais été de riches producteurs, seigneurs ou industriels. Cependant, s'ils ont été élevés par lui aux plus grands honneurs et richesse, je conviendrai bien volontiers que ceci ne doit pas être.

*

Avez-vous remarqué, dans l'article de l'Express, la phrase :
"Il a ensuite accueilli peu après le couple présidentiel sur son yacht, à Malte, puis financé en partie les vacances égyptiennes de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni l'hiver suivant."

Outre le fait qu'ici c'est l'ami qui paye pour le "prince", et non le contraire, le fait que Nicolas Sarkozy aie besoin qu'on lui finance en partie ses vacances fait sourire. Ou bien c'est n'importe quoi, et il faut arrêter de dire et d'écrire n'importe quoi, ou bien c'est vrai, et alors il faut s'inquiéter : en échange de quoi ?
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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 15:10
Venant après le levée de l'excommunication de Mgr Williamson, la phrase du Pape fait du tort.

A lui, d'abord, qui s'attire les critiques les plus répandues.
A l'Eglise, que les non pratiquants ou les non catholiques prennent pour une maison où il est de plus en plus difficile d'entrer.
Aux catholiques, prêtres et laïcs, qui auront du mal à trouver les mots pour justifier cette rigueur.

Pas à la lutte contre le Sida, non, je ne crois pas une seconde que la distribution des préservatifs s'en trouve en quoi que ce soit ralentie...

Alors, que se passe-t-il ?

«On ne peut pas régler le problème du sida avec la distribution de préservatifs»,  déclare le Pape. «Au contraire, leur utilisation aggrave le problème.»

Et si, une fois de plus, la déclaration était tombée dans une oreille mal intentionnée ?

Car enfin, la première phrase est juste : les préservatifs ne règlent pas le problème. L'Eglise est dans son rôle quand elle recommande la fidélité, comme étant le moyen le plus sûr.

Cependant, dès lors que nos frères humains prennent le risque de relations épisodiques, il est clair que le préservatif devient une solution.

En voiture, si vous ne voulez pas avoir d'accident, laissez-la au garage. Mais si vous l'utilisez, mettez votre ceinture.

Paraphrasant Georges Brassens, le Pape a certainement dit :

"Imaginez qu'un de vous puisse être,
Comme le singe obligé de,
Trouver son plaisir où il le peut
Alors il sera préférable d'utiliser un préservatif"

Le Pape faisant référence à Brassens ? Ce n'est pas sérieux ! Je comprends mieux maintenant quer les journalistes aient déformé sa déclaration, c'était une mesure de protection contre une trop grande familiarité...

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17 mars 2009 2 17 /03 /mars /2009 12:06
Très actuel, ce sujet, avec la crise et le débat sur le bouclier fiscal.

Comment ne pas être étonné que, dans notre monde, certains disposent de revenus ou d'une fortune si considérable qu'il leur soit impossible de la consommer, alors que d'autres ne possèdent ni toit ni assiette, ni rien à mettre dedans ?

Incontestablement, on touche ici aux limites intolérables du libéralisme et du capitalisme.

Suis-je en train de faire de la réclame pour un nouveau communisme ? Tout le monde au travail et on partage tout ? Certainement pas, le XXè siècle s'est chargé de vacciner la planète.

Alors quoi ?

Vous est-il déjà arrivé, dans une conversation où l'on évoque le réussite professionnelle d'untel, d'entendre : "c'est normal, il travaille tellement" ?

Peu de choses m'agaçent autant !

Il travaille, certes, mais les autres aussi, ceux qui ne connaissent pas la même insolente réussite, ceux dont vous faites partie... Vous gagnez 2 000, 5 000 € par mois ? Si vous travaillez 70 h par semaine, allez vous gagner 100 000 € ? Bien sûr que non.

"Mais il a tellement de responsabilités, il gère des milliers d'emplois". Et alors ? Si c'était si dur physiquement; il n'y parviendrait pas. Il est à la tête d'une pyramide, qui comporte des collaborateurs sans lesquels il ne peut exister.
Quant à sa responsabilité, s'il est lui-même salarié, elle consiste à obéir aux ordres des actionnaires, à bâtir sa carrière, pour un jour quitter l'entreprise en faisant le saut le plus beau possible vers une nouvelle fonction.

A l'inverse du communisme, je ne vois aucun inconvénient à la réussite et à l'enrichissement de certains. Qu'ils perçoivent de quoi vivre très largement, eux et leur famille avec eux, qu'ils se mettent à l'abri des intempéries, très bien. Mais il y a une limite au raisonnable, un début à l'inutile et au gâchis...

Gâchis, car pendant ce temps d'autres souffrent, et ce n'est pas admissible.
Gâchis, car pendant ce temps l'Etat accumule les dettes, vis-à-vis du système bancaire ou de puissances étrangères, dettes qui rendront la vie de nos descendants encore plus difficile.

Ma proposition, que je ne développerai pas mais sur laquelle j'aimerais vos réactions, consiste à emprunter aux plus fort revenus la part superfétatoire. Un emprunt d'Etat, qui évitera à l'Etat d'aller emprunter ailleurs. Un emprunt qui permettra à l'Etat d'alléger les charges qui pèsent sur les Français et  qui relancera la machine.

Alors, les riches reverront-ils un jour leur argent ? Pour quoi faire ?

Non ? Dans ce cas c'est une confiscation, un impôt...

Peut-être... mais peut-être aussi peut-on, en échange de cette contribution, leur donner un pouvoir, la possibilité de contrôler l'utilisation de cette richesse qu'ils ont mise à disposition.

Sous l'Ancien régime, l'Etat empruntait aux puissants, leur donnait des titres, des charges (et s'arrangeait souvent pour supprimer la dette).

Pas question de faire pour eux une Chambre Haute, pour leur donner un contrôle sur le gouvernement, mais que peut-on encore vouloir quand on a tout ? Honneur et pouvoir. Le premier ne coûte pas cher et le deuxième peut éventuellement faire l'objet d'un collège au sein de l'Assemblée nationale. Solidarité nationale : solidarité économique, solidarité de pouvoir, solidarité sociale.

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6 mars 2009 5 06 /03 /mars /2009 15:38
Je reçois au courrier une invitation pour un concours de vins tchèques et moraves, avec une soirée festives "sur les traces des batailles napoléoniennes" avec les représentants du "projet Austerlitz".
Une troisième note m'informe que, depuis la révolution de velours (séparation d'un commun accord de la Tchéquie et de la Slovaquie), "la Tchéquie est passée d'une économie étatisée à une économie de marché libre. (...) Les débats resurgissent aujourd'hui au sujet de la recherche d'une troisième voie"
Ni communisme, ni capitalisme libéral ? A quoi pense-t-on, à Prague ? Au bonapartisme ?
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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 19:05
Cet après-midi, zappant sur internet, je tombe sur le titre du journal Le Monde suivant :

"Des royalistes font leur entrée à la direction du Parti socialiste"

Illico, je suis les liens vers les commentaires, et signale fort poliment que le mot "royaliste" servant couramment à désigner les partisans de la monarchie, et plus actuellement les militants et sympathisants de l'Alliance royale, il conviendrait de choisir entre Ségolénistes ou royaliens pour désigner les proches de Mme Royal.

Un peu plus tard, j'ai pu vérifier que mon commentaire n'avait pas été censuré.

Et ce soir, le titre de l'article a changé :

"Des proches de Ségolène Royal font leur entrée à la direction du Parti socialiste"

Je déborde de satisfaction...
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24 février 2009 2 24 /02 /février /2009 14:43
La crise de 29 ? C'est pour nous un souvenir des livres d'Histoire, c'est du passé, ça ne peut pas se reproduire...

C'est comme la guerre, c'est la der des ders... jusqu'à la prochaine !

Or voilà que, par un mécanisme maintenant facile à comprendre, la crise démarre aux Etats Unis...

Mais, d'avis unanime des experts, elle ne nous touchera pas !

Mais, comme notre génération est la plus maligne de toutes, elle a réussi à lever toutes les barrières économiques mondiales. Pourquoi s'embarrasser ?

En Europe, plus particulièrement, notre génération a institué l'Euro, destiné à défendre notre économie contre... mais contre quoi ? contre le Dollar ?

Donc l'Euro, c'est bien. Il monte, il monte, nos prix montent, ils montent... ce qui ne favorise pas exactement nos exportations. Mais ne pas être pour l'Euro, c'est être ringard, alors soyons...

L'Europe ? La République universelle voudrait bien faire l'Europe, un seul grand Etat, les Etats Unis d'Europe. Les peuples n'en veulent pas ? Qui s'en soucie, puisque les politiques la veulent.

Mais l'impossible arrive.

La crise a traversé l'Atlantique, et le Pacifique, à la vitesse d'Internet... la crise est mondiale. Cela signifie que les entreprises ont d'abord continué à fabriquer, par inertie, et se retrouvent à présent avec un stock pléthorique, qu'il faut bien payer...

Prenant conscience de l'évènement, elles ont cessé de produire : les premiers chômages partiels, avant le chômage tout court.

Des chefs d'entreprise se suicident.

Notre génération n'avait jamais vu ça !

Jusqu'à la crise, nous savions que nos économies étaient en déficit : les USA affichent un trou colossal et nous savions bien qu'en France chaque bébé qui naissait devrait payer 25 000 € pour avoir droit à un berceau.

Alors, si seulement on parvient à réparer la chambre à air, comment voyez vous l'avenir du budget des économies mondiales ? Comment imaginez vous que nous allons 1) revenir à la normale et 2) rembourser nos dettes ?

On n'en prend pas le chemin !

Voilà maintenant des Etats, les premiers, qui étudient sérieusement la possibilité de sortir de l'Euro, qui les empêche de dévaluer... et pourquoi pas de l'Europe.

Notre génération a joué à l'apprenti-sorcier, elle n'est pas la première (sinon nous serions encore en monarchie), elle n'est pas la dernière (c'est bien pourquoi nous devrions vite revenir à la monarchie).

Nous n'avons pas fini de payer.
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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 08:49

Le remorqueur de haute mer Anglian Earl doit tracter l'ex-Clemenceau durant quatre jours sur 1.400 km jusqu'à Hartlepool au nord-est de l'Angleterre, où le porte-avions doit être démantelé © FRED TANNEAU / AFP

 

L'ex-porte-avions Clemenceau a quitté mardi matin le port militaire de Brest derrière un remorqueur anglais pour son dernier voyage qui doit l'emmener jusqu'à un chantier de démantèlement dans le nord-est de l'Angleterre. Le départ de Brest de ce qui n'est plus officiellement que la coque Q790 constitue la dernière étape d'un rocambolesque feuilleton de plusieurs années qui a mené jusqu'en Inde l'ancien fleuron de la marine française désarmé en 1997.

L'énorme coque grise et rouillée a quitté le quai en douceur vers 11 heures, manoeuvrée par huit petits remorqueurs, avant d'être prise en charge par le remorqueur de haute mer britannique Anglian Earl qui lui a fait franchir le goulet de Brest en milieu de journée. La traversée de l'ex- Clemenceau en Manche puis en mer du Nord vers le chantier Able UK à Hartlepool, au nord-est de l'Angleterre, doit prendre au moins quatre jours. Able UK a remporté en juillet 2008 l'appel d'offres lancé par les autorités françaises pour déconstruire le navire de 266 mètres de long, 51 mètres de large, 14 ponts et contenant une importante quantité d'amiante. Les derniers obstacles juridiques au transfert ont été levés lundi par le tribunal administratif de Rennes, qui a rejeté le recours d'une association écologiste brestoise. Le départ de l'ex- Clemenceau était initialement prévu pour la fin janvier, mais il avait été reporté en raison du mauvais temps.

Les autorités françaises espèrent être définitivement débarrassées de l'encombrante coque, après l'échec de deux précédentes tentatives de l'expédier dans des chantiers de déconstruction : en 2003, alors que le navire a été vendu à un chantier espagnol, la Marine s'aperçoit, après dix jours de mer, que l'acheteur le dirige non vers l'Espagne comme convenu mais vers la Turquie : annulation du contrat et premier retour à Toulon. Le 30 décembre 2005, l'ex porte-avions repart vers le site d'Alang en Inde, suscitant la colère de plusieurs associations écologistes, dont Greenpeace, qui reprochent au gouvernement français de se débarrasser à bon compte d'une coque recelant beaucoup plus que les 45 tonnes d'amiante que la France veut bien reconnaître. Après un périple jusqu'aux côtes indiennes émaillé de multiples péripéties diplomatico-judiciaires, le bateau devra finalement revenir à Brest, faisant deux fois le tour de l'Afrique. Une expertise montrera peu après l'étendue des zones amiantées à traiter sur le navire : 17,5 km de tuyaux, 2,8 km de gaines de ventilation, 2.380 m2 d'amiante projetée, 3.920 m2 de matelas d'amiante pour l'isolation, 7.120 m2 de dalles au sol et 44.000 m2 de peinture.

Ah, les écologistes ! Voici encore une force internationale qui marque des points. Pour être sûrs que leur combat retienne l'attention, ils vont se plaindre de n'avoir pas réussi à ... mais à quoi faire, d'ailleurs ? Ce bateau est un tas de rouille, il faut bien le démanteler, d'une manière ou d'une autre...
Enfin, voilà la France contrainte d'envoyer en catimini l'ex fleuron de sa flotte militaire se faire démanteler en Angleterre.
Soyons sûrs que les Anglais sauront mieux faire que les Français, eux qui pour supprimer leurs vieux bateaux, les envoient par le fonds !
Nous n'avons plus qu'à nous consoler en achetant aux enchères un morceau du paquebot France ça fera bien dans le salon !
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