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le nouveau bulletin de l'Alliance Royale vient de sortir

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Alliance Hauts-de-Seine

L’Alliance Royale est une formation politique fondée en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus  qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.

  blasong2.jpg"D'azur à la fleur de lys d'or et à la nef antique d'argent, au chef d'argent chargé d'une fasce ondée d'azur", ainsi se décrit le blason des Hauts-de-Seine créé par Georges Weill.


    "Blason Royal du Pays d'Aunis"

14 mars 2009 6 14 /03 /mars /2009 12:23

La coupe est pleine. Devrons nous la boire jusqu’ à la lie ?
En 2007, les pays de l’Union Européenne, France comprise, ont adopté la réforme du secteur du vin… européen. Un dernier vote définitif doit intervenir le 27 avril 2009. Un des enjeux ? Bruxelles pourrait bien autoriser le coupage du « blanc » et du « rouge » pour faire du « rosé » ! Plus que jamais il est urgent de se soustraire une fois pour toute à la « pieuvre »…

« Bacchus » de Giovanni Francesco Susini (Le Louvre)

A coups de coups bas le savoir-faire et le savoir-être de nos vignerons est mis à bas toujours un peu plus. Sciure et copeaux de chêne, attaque de nos appellations que seuls de savants œnologues sauraient déchiffrer… Et maintenant un « trois quarts -blanc » + un « quart-rouge » donnerait un « rosé »…
A quand le coupage à l’eau ?

La France est le premier producteur mondial de vin rosé. Bruxelles, toujours bienveillante à l’égard des intérêts de nos vignerons, fait valoir que cette pratique est déjà utilisée par l’Afrique du Sud et l’Australie. Au nom de toutes les misères du monde plongeons nous dans la misère !

Avec ce «projet rosé», l'objectif de la Commission est simple: libérer l'UE des «entraves oenologiques» pour s'ouvrir de nouveaux marchés, notamment la Chine.

Nous en appelons à Bacchus !

Les obsessions « européennes » conduisent à notre perte…

Il est urgent de prendre le grand large… (Sans modération…)

Portemont, le 13 mars 2009

Source / http://www.lesmanantsduroi.com/articles2/article71616.php

Le vin rosé ?

Vous vous rappelez que, pour l’essentiel, la couleur d’un vin dépend de la peau du raisin. Pour certains rosés (appelés rosés de presse) on obtient la couleur par contact uniquement pendant la phase de pressurage. Mais pour la plupart d’entre eux (rosés de saignée), on met les raisins dans la cuve, puis on retire le jus au bout de quelques heures, quand on estime qu’il est suffisamment coloré. La fermentation a lieu comme pour un vin blanc, sans les peaux. Enfin il existe, notamment en Champagne, le cas de rosés qui sont fait par assemblage entre un peu de vin rouge et une grosse majorité de vin blanc.
On peut penser qu’il suffit, pour produire un vin rosé, de faire d’abord du vin rouge et du vin blanc puis de les mélanger !

C’est assez logique mais c’est interdit pour la plupart des vins d’appellation. C’est autorisé en Champagne et dans quelques autres cas. La plupart des champenois utilisent cette méthode pour produire leurs rosés car, outre le fait qu’elle permet d’utiliser les cépages blancs (essentiellement le chardonnay), elle assure aussi une plus grande stabilité de la couleur pendant la deuxième fermentation en bouteille. On appelle cette technique « assemblage ». Généralement l’assemblage incorpore entre 5% et 15% de vin rouge. Bien entendu, s’agissant d’un vin d’appellation contrôlée, tous les ingrédients doivent venir de la même appellation !

L’autre technique importante pour produire un rosé est celle dite de la « saignée ». On part de raisins rouges que l’on foule avant de les mettre en cuve. Puisque l’on recherche moins de couleur que pour un vin rouge, on va écourter de beaucoup la phase de macération pendant laquelle le jus s’imprègne de la couleur au contact des peaux : entre quelques heures et quelques jours, selon la nature des raisins, parce que les variétés sont plus ou moins riches en pigments colorants, et selon la couleur souhaitée par le vigneron. Une fois la couleur obtenue, on retire les peaux et la fermentation se poursuit comme pour un vin blanc.

Enfin, pour certains rosés très pâles, on obtient la couleur uniquement pendant la phase de pressurage, qui remplace donc le foulage. On presse les raisins rouges dès leur arrivée au chai, et avec la chaleur ambiante, le jus se « tâche » légèrement. Ces vins s’appellent logiquement « rosés de presse ». Un exemple bien connu est le « vin gris ».


Elaboration du vin rosé par pressurage direct

Cette méthode est possible avec des raisins à peau très foncée, mourvèdre, cinsault, grenache par exemple. En fait, on presse directement les raisins à l'arrivée de la vendange, et le jus blanc entraîne avec lui une partie des pigments colorés de la peau. Il n'y a donc quasiment pas de tanins, et ces vins rosés ont la même structure que les vins blancs.


Elaboration du vin rosé par saignée

On laisse macérer entre 6 et 18 heures après les vendanges, en fonction de la couleur désirée, les raisins entiers. Le jus qui s'écoule naturellement prend une couleur rosée, et quelques tanins se dissolvent dans ce jus. On pratique une saignée dans la cuve, c'est-à-dire qu'on recueille ce premier jus, ainsi appelé "rosé de saignée" et on laisse les raisins poursuivre leur macération pour produire du vin rouge. Ces rosés de saignée seront donc plus complexes. L'autre avantage induit de cette méthode est de concentrer les vins rouges qui continuent leur fermentation après la saignée.

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 15:03

Reynald Secher à Nantes


Vous connaissez depuis plusieurs années maintenant notre association au travers principalement de notre support médiatique et Internet http://www.facebook.com/l.php?u=http://unionroyalistebvm.over-blog.com.
Nous avons souhaité donner un nouvel élan à l’URBVM. Nos actions seront dorénavant couplées avec un cycle de 3 à 4 conférences annuelles sous une forme nouvelle et politique au sens aristotélicien du terme.
Le livre thèse «la Vendée-vengé» de Reynald SECHER, Docteur en Histoire, sorti voilà vingt ans, avait choqué par ses révélations issues des archives nationales. Après bien des péripéties, Reynald SECHER milite pour la reconnaissance du génocide vendéen. Il a appuyé la démarche du député Lionnel LUCAS pour qu’un projet de loi soit discuté à l’Assemblée Nationale. Il participe au livre phare:«Le livre noir de la Révolution Française» et fait rééditer par les éditions du CERF le livre de Gracchus Babeuf: « La guerre de la Vendée et le système de dépopulation ».
Reynald SECHER, animera donc cette première le vendredi 17 avril 2009 à 19h30 précises dans l’une des spacieuses salles du Relais d’Alsace à Saint Herblain (308 bd Marcel Paul), et nous expliquera comment la raison devenue folle a conduit à la philosophie des Lumières, et de là à la terreur, c'est-à-dire à toutes les «Terreurs», de Robespierre à Pol Poth, en passant par Staline, Mao ou Hitler et où comment le génocide vendéen a vraiment été l’acte fondateur de tous les totalitarismes modernes.
Comme nous l’avons toujours souligné, redisons qu’il n’est pas nécessaire d’être royaliste pour participer à nos manifestations. Il faut et il suffit – quel que soit son âge – d’être préoccupé par l’avenir de la France et de nos familles et vouloir se libérer du politiquement correct afin de comprendre le véritable enchaînement des causes et des effets.
C’est par conséquent avec grand plaisir que nous vous attendons le 17 avril prochain au Relais d’Alsace, vous-mêmes et tous les amis et relations que vous aurez la possibilité d’amener avec vous.
Nous vous prions d’agréer, cher(e) ami(e), l’expression de nos sentiments dévoués et distingués.
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BULLETIN D’INSCRIPTION
A renvoyer avant le 10 avril 2009 à:
URBVM – La Boursière – 85120 ANTIGNY (avec votre règlement à l’ordre de URBVM)

- Mme, Mlle, M............................................................participera à la conférence-coktail-débat du 17 avril 2009 (15 €/pers.; 8 € pour ecclésiastique, étudiant et chômeur) et sera accompagné(e) de.......personne(s); joint à cet effet un chèque de ….. €. X ….= ...... €.
- Mme, Mlle, M............................................................ne participera pas à la conférence-coktail-débat du 17 avril 2009, mais vous adresse un chèque de.....€ à titre de don.

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 12:58
Par Jean-Philippe CHAUVIN

En juin prochain se dérouleront les élections européennes pour désigner les députés au Parlement de Strasbourg et de Bruxelles, et ceci pour la législature 2009-2014. Les royalistes italiens ne seront pas les seuls à postuler pour cette assemblée et, comme en 2004, le mouvement français « Alliance Royale » présentera des listes sur toutes les circonscriptions de métropole, pour faire avancer l’idée d’ « une France royale au cœur de l’Europe », comme l’indiquent ses affiches et ses autocollants dont certains commencent à apparaître à Paris comme à Versailles et bien ailleurs aussi.

 

Par le passé, j’ai déjà porté les couleurs royalistes à des élections politiques, comme en 1988 et 1995 en Ille-et-Vilaine et en 2005 dans les Hauts-de-Seine, et, suite à la demande des dirigeants d’Alliance Royale, j’ai accepté d’être « tête de liste » de cette formation monarchiste pour la région « Ouest » (13 départements bretons, ligériens, charentais, etc.) pour le scrutin du 7 juin.

 

Ma candidature sous l’étiquette fleurdelysée Alliance Royale signifie-t-elle l’abandon de ma liberté de plume et de réflexion, celle-là même que j’exerce quotidiennement à travers mes diverses déclarations, discussions, interventions sur des forums de presse ou notes de ce blogue ? Bien sûr que non ! Il s’agit pour moi d’un autre moyen, et immédiatement efficace, dans le temps relativement court d’une campagne électorale, d’exprimer mon engagement et ma fidélité monarchistes, en leur donnant même une visibilité et, j’espère, une plus grande crédibilité aux yeux de nos contemporains.

 

L’idée est de conquérir les esprits, les intelligences et les cœurs plus encore que les voix : ce que nous semons par cette campagne électorale royaliste, et je parle pour les militants monarchistes engagés dans cette bataille des européennes, doit trouver à germer dans le paysage politique, par une présence plus marquée, plus habituelle et plus crédible, des royalistes, de leurs journaux, sites, mouvements ou personnalités, dans leur diversité et leurs différences, et, par delà, dans leur volonté de faire advenir la nécessaire Monarchie française.

 

Certains me chicaneront sur tel ou tel aspect du programme européen de l’Alliance Royale, aspect qui ne me ressemblerait pas ou serait même peu compatible avec ce que j’ai toujours dit et écrit, en particulier sur ce blogue personnel (voir lien ci-contre) dont j’assume toutes les notes rédigées : je ne méconnais pas ces quelques différences d’appréciation et de positions, parfois importantes, mais elles ne me semblent pas pour autant décisives, et je n’y trouve pas un motif suffisant pour me défausser de mes devoirs de militant politique royaliste. Le plus important, pour moi, est de brandir au-dessus des urnes le drapeau royal, d’en faire l’étendard des espérances françaises et de bien le tenir dans les tempêtes qui s’annoncent.

 

Cela a toujours été ma ligne de conduite dans les différentes campagnes électorales que j’ai mené, et je m’y tiens et m’y tiendrai encore demain… Maintenant, au travail : mener cette liste Alliance Royale (ce que je considère à la fois comme un honneur et une charge utile) ne doit pas être un simple titre, c’est aussi le devoir de parler, d’écrire, de débattre, de chercher à convaincre, en somme de « royaliser le pays », à toutes les échelles possibles…

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10 mars 2009 2 10 /03 /mars /2009 14:01
Imaginez un résultat frappant de l'Alliance royale aux élections européennes de juin !

Téléchargés sur Internet, les bulletins de vote permettront un résultat partiel : il faudrait fournir tous les bureaux de vote avec des bulletins, pour avoir un résultat réel.

Nous sommes, en France, 40 millions d'électeurs. Nous avons donc besoin de fournir à l'administration quelque 80 millions de bulletins.

Compte tenu de l'importance du marché, il n'est pas irréaliste de prévoir un budget de... 2 millions d'euros !

Que nous n'avons pas, il va sans dire. Et je n'évoque pas dans ce chiffre le prix des affiches et des circulaires...

Le sondage BVA de 2007 attribuait au principe monarchique un pourcentage de "sympathisants" de 17%.

Retenons, en raison de la jeunesse de notre organisation, un pourcentage de 5% d'électeurs qui nous donneraient leurs suffrages, est-ce utopique ? Non, à condition d'avoir les bulletins.

Dans cette hypothèse, ce sont donc 2 millions d'électeurs qui, enfin, peuvent voter pour une France royale.

2 millions d'électeurs, 80 millions de bulletins, 2 millions d'euros...

N'enverriez-vous pas 1 € à l'Alliance royale pour permettre ce prodige ? Je suis sûr que vous le feriez. Mais, outre le fait que vous allez dépenser 0,56 € de timbre et que vous ne serez pas 2 millions de personnes à faire ce "versement", j'appelle plutôt nos sympathisants à souscrire un montant de... 10 €.

Souscription symbolique, convenez-en. Mais combien efficace, dès lors que cet appel serait entendu par tous les Français et écouté par 200 000.

10 € pour une France royale au coeur de l'Europe, et votre aide précieuse pour relayer ce message au plus grand nombre.

ALLIANCE ROYALE
Mandataire financier de l'Alliance royale
17 rue des Acacias
75017 PARIS

Merci pour nous tous
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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 20:46
Le Télégramme de Brest :

BRETAGNE

L'Air du temps. À quoi sert cette Journée?

8 mars 2009 -

À quoi sert la Journée de la Femme? À quoi sert une Journée des Femmes? À quoi sert la Journée Internationale des Femmes? Depuis 1977, on ne cesse de poser la question. Les optimistes diront qu'au moins, on la pose. Il est vrai que la semaine qui précède le 8 mars, est toujours celle des bilans et des promesses parfois tenues. Que de chemin parcouru en 60 ans... En France, par exemple, on peut voir la bouteille à moitié pleine : féminisation du salariat, accession à des postes et des professions jusque-là réservées aux hommes, exception française en matière de conciliation maternité-travail, quasi-parité au gouvernement, avancées dans les conseils municipaux, etc. Mais il y a aussi la bouteille à moitié vide : inégalité des salaires, partage des tâches, surreprésentation des femmes dans les secteurs traditionnellement féminins comme le secrétariat ou l'entretien, postes de pouvoir ou de décision restant l'apanage des hommes en politique (seulement 12% d'élues à l'Assemblée nationale) et dans l'entreprise (le plafond de verre), chômage, temps partiel, etc. Avec la sempiternelle antienne : les femmes ne sont pas plus nombreuses au pouvoir parce qu'elles ne le veulent pas? Ou ne le veulent-elles pas parce qu'elles savent qu'elles ne pourront pas - ou difficilement - y accéder? L'application de la parité dans l'entreprise selon la loi? Oui, pourquoi pas même si c'est théoriquement contestable et qu'on ait déjà constaté, dans le domaine politique, les limites d'une loi paritaire. En 2009, le débat, au moins, est lancé.

  • Michèle Fitoussi
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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 12:03

Le Parisien :
Face à la CPI, Omar el-Béchir s'installe dans le défi

 Provocation, mobilisation de ses partisans et défi à l'Occident: le président soudanais Omar el-Béchir, visé par un mandat d'arrêt de la CPI pour des crimes au Darfour, s'est rendu dimanche dans cette région de l'ouest soudanais, après en avoir banni treize ONG internationales.

Omar el-Béchir, 65 ans, tente actuellement de rallier l'appui de l'ensemble de la population soudanaise dans son bras de fer contre la justice internationale sur le thème de la lutte contre le «néo-colonialisme» occidental. Il a ainsi menacé dimanche d'expulsion les ONG, le corps diplomatique et les forces de l'ONU présents au Soudan, s'ils ne respectent pas les lois locales,

La CPI a délivré le 4 mars un mandat d'arrêt mercredi contre le président soudanais pour crimes de guerre et contre l'humanité au Darfour. Ce dernier y a répondu avec véhémence et a décidé d'expulser 13 ONG parmi les plus actives au Darfour, où 2,7 millions de personnes vivent dans des camps. «Les ONG expulsées sont des voleurs. Elles gardent 99% des fonds pour elles-mêmes et ne donnent que 1% à la population du Darfour», a lancé samedi M. Béchir lors d'un discours à Khartoum devant des partisans venus du Sud-Soudan.

La décision de Khartoum va priver de nourriture, d'eau potable et de soins de santé plus d'un million de personnes au Darfour, selon des responsables onusiens, et l'ONU a averti que des milliers de personnes risquaient de mourir. Des responsables onusiens craignent aussi des mouvements de population massifs au Darfour si les services essentiels ne sont pas assurés dans les camps, ce qui pourrait augmenter l'exposition des civils aux combats entre rebelles et soldats. 

Notre réaction :

 

De la différence qu'il y a à lancer un mandat d'arrêt contre un chef d'état en exercice, ou contre un dirigeant en fuite !

Dans le cas présent, on peut bien imaginer qu'il ne va pas se livrer spontanément... Il va donc agiter la population (avec force menaces, n'en doutons pas) contre l'Occident, et commence par expulser ses représentants sur son sol, à savoir les ONG. C'est encore la population qui va souffrir, et mourir.

S'il ne se livre pas (évident) et que personne ne va le chercher sur place (fort douteux), que cherche-t-on ? A le faire assassiner ?

Procédé expéditif, fort peu régulier, convenons-en...

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 10:40
Le dépot des listes de candidats pour les élections européennes devra intervenir entre le 11 et le 22 mai.

C'est dans deux mois.

D'ici là, il nous faut la signature de tous les candidats, et faire circuler la liste entre chacun d'eux à cette fin.

Il est connu que le temps passe vite...


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6 mars 2009 5 06 /03 /mars /2009 15:38
Je reçois au courrier une invitation pour un concours de vins tchèques et moraves, avec une soirée festives "sur les traces des batailles napoléoniennes" avec les représentants du "projet Austerlitz".
Une troisième note m'informe que, depuis la révolution de velours (séparation d'un commun accord de la Tchéquie et de la Slovaquie), "la Tchéquie est passée d'une économie étatisée à une économie de marché libre. (...) Les débats resurgissent aujourd'hui au sujet de la recherche d'une troisième voie"
Ni communisme, ni capitalisme libéral ? A quoi pense-t-on, à Prague ? Au bonapartisme ?
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 10:58
Par Jean-Philippe Chauvin :

Dans le cadre d’un débat sur les idées monarchistes qui s’est développé sur Dailymotion autour de la vidéo sur « les victimes de la République » (http://www.dailymotion.com/user/SACR_videos/video/x7v26o_les-victimes-de-la-republique_news ), j’ai répondu à quelques objections avancées par des internautes républicains. Voici, ci-dessous, quelques unes de mes réponses :

 

1. Monarchie, possibilités institutionnelles, principes de légitimité d’une instauration monarchique :

 

La Monarchie, aujourd'hui, a des possibilités institutionnelles que n'offre pas la République, coincée par son quinquennat et sa dépendance au Seigneur-Argent...
Au-delà des caricatures qu'en donnent ses adversaires, elle serait d'autant plus libre que cette Monarchie, par son principe de transmission héréditaire, ne doit rien aux puissances d'Argent ("le vil métal" disait Maurras comme Bernanos) ni aux opinions médiatiques.
Trois principes sont désormais à la base de la légitimité d'une instauration monarchique : l'unité nationale respectueuse des diversités locales ; la justice sociale face aux "Fouquet" de l'économie sauvage ; le souci environnemental.
Le philosophe Michel Serres disait, il y a peu, que ce qui manquait à l'Etat c'était la durée : la Monarchie la permet et l'inscrit dans le politique, par la formule : "le roi est mort, vive le roi", symbole d'un perpétuel rajeunissement du régime royal. A méditer !

 

2. Le roi, souverain et non suzerain :

 

L'histoire de France ne se limite pas, heureusement, à ce que les manuels scolaires en font... Evoquer la Cour [en parlant de la Monarchie, comme le font certains républicains…] aujourd'hui fait sourire, surtout quand on en voit ce que la République a su en faire avec ses jeux de clientèle permanents et ses courtisans empressés autour de l’élysée... Comprenez bien que la Cour sous Louis XIV a été le moyen de désarmer une noblesse qui se croyait encore à l'époque féodale.
Or, le roi ne se considère pas comme le premier des nobles, comme un suzerain suprême, mais bien comme un souverain, ce qui n'a ni le même sens, ni la même portée.
L'intérêt de l'hérédité est de libérer l'Etat, en sa magistrature suprême, du "choix électoral" c'est-à-dire du jeu des clientèles et de l'Argent-Seigneur qui fait les élections, et donc en République, le Pouvoir... De plus, le roi n'a pas à être le plus intelligent ni le plus compétent mais le plus libre, libre de choisir les plus intelligents et les plus compétents qui, dans nos démocraties, ont souvent du mal à être reconnus...

 

3. Le Pouvoir ne se « mérite » pas :

 

"Mériter le pouvoir"? L'expression n'est pas très heureuse, me semble-t-il... L'Etat, lorsqu'il est justement l'objet d'une querelle pour savoir "qui" le mérite, devient alors une sorte de privilège alors qu'il est d'abord une charge politique à assumer, non dans son intérêt particulier, "mérité" ou non, mais dans l'intérêt de tous...
D'où l'intérêt d'une Monarchie où le souverain assume le Pouvoir sans l'avoir ni demandé ni "mérité" : c'est ce qui fait son indépendance et la possibilité d'entendre tous les citoyens...

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28 février 2009 6 28 /02 /février /2009 19:21

Les élections européennes fixées les 6 et 7 juin 2009 - service-public.fr

(28/01/2009)


Les prochaines élections européennes se dérouleront le samedi 6 juin en Polynésie Française, à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Saint-Martin, à Saint-Barthélemy et dans les départements des Antilles et de la Guyane et le dimanche 7 juin dans le reste du territoire national.

Les électeurs choisiront pour la France les 72 députés qui les représenteront pendant 5 ans au Parlement européen, les députés étant répartis entre 8 régions électorales :
Est (9),
Ile-de-France (13),
Massif central-Centre (5),
Nord-Ouest (10),
Ouest (9),
Outre-mer (3),
Sud-Est (13)
Sud-Ouest (10)

soit le double de candidats...

MAIS :

Elections de 2009 : faut-il compter avec ou sans le traité de Lisbonne ?
Les élections de 2009 seront d’autant plus incertaines suite au rejet du traité de Lisbonne par l’Irlande. Si le traité n’est pas ratifié dans l’ensemble des Etats membres à temps pour les élections de juin prochain, le traité de Nice restera en vigueur. Cette situation aura des répercussions directes sur le nombre de sièges alloués, ce qui pourrait également perturber l’organisation des élections au niveau national dans la mesure où le nombre de siéges disponibles deviendrait alors incertain. 

Dans le cadre vraisemblable où le traité de Nice s'applique à ce moment-là, le nombre total de siéges serait ramené à 736 après les élections de 2009. Soit 72 députés pour la France (voir liste ci-dessus).

Néanmoins, en cas de ratification du traité de Lisbonne, ce total passerait à 751 sièges.

C’est une question très importante pour les Etats membres de l’UE, car tous souhaitent accroître leur influence au Parlement en obtenant le nombre de sièges le plus élevé possible. Lors des négociations sur le traité de Lisbonne, l’Allemagne, qui désirait que sa représentation au Parlement reflète la taille de sa population, était finalement parvenue à maintenir le nombre total de ses sièges à 99. La France et le Royaume-Uni, pour leur part, ont dû revoir le nombre de leurs sièges à la baisse, de 78 à 74 et 73 respectivement, afin de libérer des siéges pour les eurodéputés des derniers Etats membres. En outre, au cours d’une campagne de pression de dernière minute, l’Italie – qui détient actuellement 78 sièges à l’instar de la France et du Royaume-Uni – est parvenue à conserver 73 sièges, soit un de plus que ce qui avait été proposé à l’origine.

A jour J moins 3 mois et 1 semaine, nous ignorons encore si nous élirons 72 ou 74 députés.

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